Extrait du journal

Paris, 27 octobre. Au moment où Mus attendons le résultat de la consultation populaire en Grande-Bretagne, au moment où la décision d'une majorité de trois millions d'hommes et de femmes peut-être moins encore va peser crime façon déterminante sur le destin de l'Europe, nous nous permettons de rappeler que, pendant les vacances, dans la dernière semaine d'août et vers la miseptembre, nous avons indiqué à nos lecteun ce que, raisonnablement, les Français devaient souhaiter. Nous n'avons attendu ni la campagne électorale britannique, ni les prohibitions d'importation frappant les producteurs français de légume* pour déclarer ̃ Nous devons délirer le triomphe des libéraux sérieux (il ne s'agit pas de Lloyd George, qui est un pitre), dont les conservateurs, d'ailleurs plus sociaux qu'en Fiance, seraient simplement les soutiens, et non les maîtres. Or, ces jours derniers, c'est la vague conemvatnce qui a monté et qui, dit-on aujourd'hui, doit tout couvrir. Les causes immédiates ? Baisse du chômage à raison de 30.000 par semaine depuis l'avènement du gouvernement national stabilité...