Extrait du journal

On nous écrit : Après tant de mensonges débités par la presse gouvernementale portugaise — la •seule, comme on sait, que la liberté répu blicaine ait laissée vivre — et exportés par M. Bernardi no Machado, qui en a contracté la malhonnête habitude, on vient d’entendre de bouches républicaines quelques vérités sur la situation réelle faite par l’absurde et intolérable œuvre maçonnique. Ce n’est pas l’amour de la vérité, mais bien le désespoir qui en a fait éclater l’ex pression. Mais il convient quand même, ou pour cela même, que les puissances en prennent acte, afin qu’elles sachent à quoi s’en tenir, quand on vient leur dire, en vue d’obtenir une reconnaissance frauduleuse, que, tout le Portugal étant magiquement républicanisé, il n’y a plus d’adversaires...