Extrait du journal

Vous avez tous doux senti qu’il faut du courage à un homme pour avouer qu’il a eu tort. Et non seulement M. Alexandre Dumas a eu ce courage, mais encore il a eu celui, après mûres réflexions, de m’autoriser à publier sa lettre. Il n’aurait eu, n esp.ce pas, qu’à m’écrire la phrase suivante ; « Cher Monsieur, c’est pour vous personnellement que j ai écrit ma lettre, vous m’obligerez beaucoup en ne la publiant pas... » et je n’aurais pas pu la publier. Le malentendu regrettable qu'exploitaient déjà les complices de Drumonl n’aurait pas eu celle lin, qui, vous l’avez justement reconnu, a été si honorable pour les deux parties. Mais M. Dumas n est pas de ceux qui craignent le grand jour pour luis pensées et leurs sentiments. Il m’a donné son autorisation et votre collaborateur lui a rendu justice en disant :...