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Bonsoir, 30 juillet 1921

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Bonsoir
30 juillet 1921


Extrait du journal

Officc, ainsi tpi aux journalistes britanniques qui se laissent prendre aux malices de Berlin, je me permets de rappeler ce petit fait en les priant do le méditer : Envoyant deux ambassadeurs, le comte tic fvuehess au roi d’Angleterre, le colonel de Canins au roi de «-rance, pour notifier son avènement, Frédéric rédigeait en ces termes leurs instructions . 'tter-mt le# • ratures françaises, écrivait-il a Truchess, vous affecterez beaucoup de cordialité avec les Anglais, quand même il y en aurait très peu. Mais vous ferez beaucoup valoir l’envoi de Gainas en France. Vous direz avec un air de jalousie qu'il possède ma confiance et qu'il ne va pa^ en b rance pour enfiler des perles. » — « Vous forez mille civilités au cardinal Fleury (l’Aristide Briand du moment . écrivait-il pour Canins. Excitez autant qu'il sera en vous l'envie qu'ils ont contre C Angleterre... >» C'est toute la politique suivie autour-...
Bonsoir (1919-1932)

À propos

Bonsoir est un quotidien d’informations générales créé en 1919 par l’équipe de L’Œuvre, dont Jean Pinot, son futur rédacteur en chef. Anticlérical et ouvert à gauche, Bonsoir est proche du Canard enchaîné et du Crapouillot, se présentant comme « le plus joli journal de Paris » et suivant « l’axe de la nouvelle majorité ». Feuille du soir, il présentait les actualités du jour dans un style vif et très souvent impertinent.

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