Extrait du journal

La fiction et le réel se mêlent d'étrange et saisissante manière dans jette action, austère et humaine, dont le musicien, plus préoccupé de la logique pure ce ses idées que ues exigences du théâtre, a lui-même fixé les données et écrit le poème. Deux mondes se touchent ici : celui des idées éternelles, purifiées de toute souillure humaine, et celui des passions, des appétits, C-; l'amour et de l'ambition. Le pessimisme de Magnard les oppose sans ménagement au cours de trois actes, dont le second est situé sur terre et les deux autres dans un ciel idéal interdit aux misères de l'homme....