Extrait du journal

cyniquement exercé que dans le numéro que nous poursuivons. A travers Kerillis, que nous méprisons, nous voulons atteindre ceux qui dictent son abjecte besogne. Qu’ils le sachent : notre conscience est pure de toute compromission. Nous ne craignons rien ni personne. Mais Kerillis devra dire au nom de qui il parle et agit. H devra dire comment sa feuille, mori bonde en septembre 1938, dont les collabora teurs avaient tous reçu l’avis qu’elle cesserait de paraître fin courant, a brusquement ressus cité après les accords de Munich, s’est agrandie, développée, a connu dès lors une mystérieuse prospérité. Nous sommes prêt», pour notre part, à exposer au grand jour les comptes, tous les comptes de notre journal. Mais Kerillis rendra le» siens....