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Je suis partout, 30 juin 1944

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Je suis partout
30 juin 1944


Extrait du journal

que de raison, une besogne surhumaine, ne fuyant aucune discussion, aucun débat, se plaçant toujours sur le plan le plus élevé du patriotisme français, Philippe Henriot s*était désigné comme l'ennemi /V 1, la cible de choix des traîtres de la dissidence, (tes salariés de la propagande étrangère et des bandits du maquis. Celui-là n'était pas C homme des fauxfuyants, des équivoques et des chemins dm traverse. Il allait droit an but. Il empoignait C adversaire par le cou, le secouait rudement, le réduisait avec ses propres arguments. Comme il avait vu clair dans le destin et les intérêts de la France, il montrait aux homme* de bonne volonté la route du salut politique, sans ambages et sans concessions, et plus d'une fois sa voix avait fait rei'iiler le mensonge. Pour ceja. il importait de la bâillonner. Et comme Philippe Henriot, farouchement indé pendant, âme d'un seul bloc, est de ceux qui...

À propos

Anticommuniste, profasciste, antisémite et positivement favorable à Hitler, Je suis partout est le journal d’extrême-droite le plus violent jamais publié en France. Si violent que son directeur Arthème Fayard, fondateur des éditions Fayard, décide dès mai 1936 de cesser sa parution. À sa mort en novembre 1936, le journal est toutefois relancé par son fils et Pierre Gaxotte, futur membre de l’Académie Française.

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