Extrait du journal

La comédie deDel.itinay n’était dépourvue ni d’esprit, ni de talent. Par malheur l’inaction à laquelle le principal personnage se trouvait en quelque sorte condamné ayant répandu une langueur mortelle sur toute h< réprésentatioti, l’ouvrage n’fait qu’un de ces décès de courte durée, qu’on a bien voulu appeler depuis des .succès d’estime , quoique les administrations théâtrales ne les aient jamais estimés. Parmi les critiques qu’011 fit d» t elle comédie, nous avons dû remarquer des observai ions fort jurât s sur le dénouement. Le Paresseux finissait par épouser la Fcrtune dont il était amoureux, et il était ainsi préserve de tous les malheurs m xqacls l’va t exposé son indolence ; on observa avec raison q ie le but murai était tiiunquéi Nous allons voir qu'une pareille faute ne peut être reprochée à l’auteur de la pièce nouvelle....