Extrait du journal

— Hé 1 — fit Aline, tout de suite après le baiser fraternel, — pourquoi viens tu sans prévenir ? — Merci de l’accueil 1 La maison de ma sœur m’est-elle fermée, depuis qa’on y prend des pensionnaires ? — Ne disons pas de niaiseries, mon cher Bob, et surtout pas de méchancetés ! Elle ri pot tait avec une aigreur, ou, au moins, avec une impatience qui ne laissa pas de déconcerter Robert. — Comme il ne répliquait rien, elle reprit, plue douce : — Tu sais fort bien que j’aurais le plus grand plaisir à le recevoir, s’il m’était per mis de croire que tu viens ici tout bête ment pour embrasser ta sœur... — Eh bien 1 moi. je suis certain que, même dans ce cas, je te gêierais. parce que je ne pourrais guère te voir sans voir, en même temps, Simone, et que tu ne veux pas que je la voie. — Oh 1 je ne veux pas... — N *n, tu ne veux pas, fit le jeune homme en insistant. — C’est elle plutôt......