Extrait du journal

Vaincus , vous appelez , dans un pénible effort, »*a'x infortunés ! c’est invoquer la mort ? La paix u’est plus pour vous, cette auguste déesse De la terre et des deux tranquille enchanteresse , Fécondant l’univers d’un seul de ses regarda , Que 1 olivier couronne et qu’adorent les arts ; Non , sa main sur voi fronts lève un sceptre homicide ; / Le monde est effrayé de sou regard livide ; Au lieu de la lumière elle répand fa nuit, L’échafaud la précède , et la terreur la suit ; Fuyez, nobles guerriers, vous qui braviez la gueule, Fuyez devant la paix terrible et sanguinaire; Sur des bords étrangers allez verser vos pleurs; Allez porter votre or , vos talons , vos malheurs ! Nous bornerons ici des citations qu’il serait facile de multiplier. Les noies et les poésies qui terminent ce volume, nous ont paru mériter aussi une mention détaillée, et nous en ferons le sujet d’un prochain article. j,...