Extrait du journal

Lorsque M. de Vatimesnil monta sur le trône universitaire , il fît connaître «on a»encrocn 1 par une encula qui lui attira beaucoup d’injures de la part de la cabale dévote : ce te circulaire associait la morale à la religion, parlait des droits des Fiançais, de la liberté des conscience-’, et promettait une protection égale aux divers modes d’enseignement. Ce langage, en opposition remarquable avec celui que tenait l’université, depuis la réaction de 1820, surprit à tel point les amis de la liberté que, tout en le louant, ils ne purent pas s’empêcher d’en soupçonner la sincérité. Ne serait-il pas possible , disions-nous alors, que le manifeste de M. le ministre, fût secrètement démenti par des circulaires confidentielles, et que renseignement mutuel, notamment disgracié , poursuivi avec acharnement par l’ancienne administration, lût sourdement persécuté par la nouvelle ? L’ordonnance du 21 do ce mois, rendue sur le rap-...