Extrait du journal

On Briand aller il léricllc. sont en mesure de constater sa déchéance physique sont formels sur ce point. Il n’y a plus de Briand, il y a des amis, des clients de Briand qui. ayant pris l’habitude de vivre familièrement avec les quarante millions de fonds secrets du Quai d’Orsay, ont celle cohabitation dans la peau et entendaient la faire durer le plus longtemps possible, cl l’adversaire le plus implacable de Briand sa sent ému au spectacle de ce malheureux qu’une cambriola avide entend presser et redresser comme un citron jusqu’à ce que la dernière goutte de vie ait fui de ses veines... ?lh / vous pouviez leur expliquer. à ces tortionnaires, que la France a besoin en ce moment, plus quelle n’en a jamais eu soin, d’un gouvernement, d’un sistre des Affaires étrangères able de penser, d’agir cl de fendre, avec les grands intérêts nationaux, les grands intérêts de la paix ? Vous pouviez leur montrer que chaque jour surgissent de nouveaux problèmes, que Hitler commence déjà à dicter des ordres à Brüning. que Brüning. lui, déclare tranquillement aux. créanciers internationaux du Reich que le Reich ne paiera désormais plus un sou des réparations !......