Extrait du journal

Provoqué par une attaque grossière, notre ami Gandilhon Gens d'Armes eut la condescendance, dans les colonnes de l'Auvergnat de Paris du 30 juin 1928, de déshabiller un cantiner le vindicatif 1et ridicule personnage qui l'avait menacé — verbalement et de loin — de lui donne* du bâton. Sur ce, jugeant imprudent de tirer sa latte, notre matador décida de demander au Tribunal d'Aurillac d'étendre un baume bienfaisant 'sur l'endroit — ou plutôt sur l'envers — de son individu qui lui cuisait plus particulièrement à la •suite de la magistrale quoique très indulgente fessée que lui avait administrée notre collaborateur....