Extrait du journal

, Ce matin, 'les véhicules de transports en commun circulent presque vides. Les rues sont désertes : portes et fenêtres restent fermées, car la chaleur est lourde, beaucoup de Parisiens sont nartfs- dès hier pour les environs de la capitnle. Si l'on veut voir quelque mouvement. c'est aux abords des grands théâtres : il faut se rendre là : les amateurs de spectacles gratuits font queue; certains sont venus dès les premières heures du jour et attendent Que les portes s'ouvrent. La foule présente en cet endroit le spectacle curieux et pittoresque des foules populaires mangeant des sandwich, buvant des verres de coco que des marchands ambulants rie cessent de servir. ;,....