PRÉCÉDENT

L’Écho nogentais, 23 octobre 1862

SUIVANT

URL invalide

L’Écho nogentais
23 octobre 1862


Extrait du journal

On nous adresse la lettre suivante : « Monsieur, » Au mois de septembre 1849, je visitai le joli village de ***, et son cimetière, où l’on ne comptait alors que deux pierres tumulaires. » Sur la première, je lus : Ô MON ANDRÉ, TU FUS BON PÈRE, BON ÉPOUX, BON GARDE NATIONAL; JE CONSENS A PERDRE I.’USAGE DE LA PAROLE SI, JAMAIS, JE ME RELANCE DANS LES LIENS DU MARIAGE ! » Onze mois après celte solennelle exclamation, André était oublié dans les bras de Nicolas !... » Sur la deuxième se trouvait gravée la phrase suivante : JUSQU’A MA DERNIÈRE HEURE, MON BIEN-AIMÉ FRANÇOIS, JE TE SERAI FIDÈLE ; j’EN PRENDS LE CIEL A TÉMOIN !... » Aujourd’hui (ma plume se refuse à l’écrire), la très ci-devant dame François, en dépit de son douzième lustre, vient de convoler en troisièmes noces? » O femmes du vilhtgc de ***, vous ressemblez terrible ment aux girouettes qui ornent le toit de ma maison ! » Recevez, Monsieur, etc. » 21 octobre 1862. » F. E. *...

À propos

Lancé en 1845, L'Écho nogentais était un journal hebdomadaire publié à Nogent-sur-Seine. Soumis au silence pendant la Seconde Guerre mondiale, le journal réapparaît à partir de 1947. Il cesse de paraître en 1956.

En savoir plus
Données de classification
  • napoléon
  • bel
  • lenfant
  • relance
  • casai
  • legouvé
  • bullier
  • victor hugo
  • guil
  • havas
  • lépine
  • romilly
  • françois
  • paris
  • aube
  • reims
  • bâle
  • cayenne
  • algérie
  • ervy
  • f. e.
  • conseil de famille
  • armées françaises