Extrait du journal

Car n'ayez crainte, le problème viendra, malgré les tours de valse socialo-communistes, qui momentanément l'ajournent. Non seulement on ne gouverne pas contre la classe ouvrière, mais on ne gouverne pas sans elle. Les dictatures elles-mêmes ont dû lui faire sa part; elle semble lourde à ceux qui les avaient favorisées, croyant y trouver un rempart contre l'assaut des revendications inévitables. Comment des démocraties, qui veulent persévérer, J2ovrraJent-eJles se passer de son corisehièmerit,"'qùe â'Ís: jé, de son concours actif, ardent, prêt à tout. Certes, le parti socialiste n'est pas seul à la représenter ; la C. G. T. est là pour nous le rappeler ; il n'en est pas moins vrai que de larges masses de cette classe ouvrière lui font confiance ; toute formation politique qui prétendrait les exclure des rassemblements qui s'apprêtent, se réduirait bien vite à des formations de lutte et de répression, qui seraient tout le contraire d'une besogne positive et constructive....