Extrait du journal

Tout d’abord, serait-ce n’avoir rien fait que d’avoir préparé, par les travaux des commissions et des rapporteurs, les éléments des importantes réformes qui sont aujourd’hui aux premiers rangs de l’ordre du jour ? Ne mériterait-elle pas quelque gratitude la Chambre qui, en quatre années de mandai aurait réalisé, en fait de réformes politiques et sociales, l’établissement d'un impôt général sur le revenu, les retraites bouvières, la suppression des conseils de guerre, l’abrogation de ce qui reste de la loi Falloux, de bonnes lois sur la décentralisation administrative, sur le contrat de travail, sur le statut des fonctionnaires ?...