Extrait du journal

Partant de ce point, évêques et militants doivent arriver à nier que l'Eglise ait le plus petit reproche à se faire et la moindre responsabilité à assumer. Ils le font délibérément. Selon eux, la rupture n'est pas le fait de l'autorité religieuse qui n'a commis aucune faute, qui n'a jamais manqué d'égards envers le gouvernement laïque. Seuls les francsmaçons, par leurs machinations ténébreuses,. sont parvenus à créer la situation actuelle et à faire naître l'inimitié entre les deux pouvoirs. Enfin, les chefs de l'Eglise et ses défenseurs affirment qu'ils n'ont jamais éprouvé pour la République que des sentiments de soumission et de respect et ils engagent les catholiques à se montrer calmes et rési-...