Extrait du journal

On nous objecte la situation des affaires à Constantinople ; on nous peint les détours et les arcanes «lu sérail ; on nous met sous les yeux les perpétuels coups d Etat dont le palais des empereurs est le théâtre ; on nous montre la misère et l’avilissement des populations, c’est l’argent qui se cache, le sol qui ne produit plus ; les transactions sont partout arrêtées. Voilà qui va mal,c’est évident, et aux grands maux, les grands remèdes. On pourrait croire «pi après ces tableaux désespérants on va cous faire entrevoir un ci ossue, la mutile possible, le partage définitif de l'Orient. Alors la grande question du siècle ser lit résolue. Mais point ; à en croire ces hommes d’Etat, ces habiles politiciens, pour débarrasser d’un seul coup la Turquie des fléaux dont elle est la proie, il suffirait de rectifier les frontières grecques. Cette best...