Extrait du journal

J’ai dit dernièrement que le plan du F.*. André consistait à introduire un mouton d’arrière-Loge à toutes les tables d’offi ciers : c’est afin qu’aucun officier ne puisse se soustraire à cette surveillance qu'il a prescrit aux officiers non mariés de se trouver à la même table. Voici un fait, absolument authentique, qui prouve à quel point est étroite eetto surveillance. U y a quelques jours, des généraux do. valent se trouver réunis à un banquet dans un restaurant du boulevard. Le restaurateur, que je pourrais nom mer, vint trouver l’un des organisateurs du banquet : — Mon général, lui dit-il, je suis très honoré du choix que vous avez fait de ma maison; mais je dois vous engager à aller ailleurs si vous avez à parler confidentiel lement. — Et pourquoi donc? demanda le général surpris. — Parce que vous serez servis par quatre mouchards dont on vient de m’imposer le* services pour la circonstance. Le général remercia, et le dîner n’ont pa» lieu : les casserole.» ministérielles en furent pour leur étamage. Je crois que tout commentaire serait su perflu. A. M. M. VAUGEOIS «EVOQUE L'Agença Haras nous communique la note suivante : M. Vaugeois, traduit devant le conseil académique de Clermont-Ferrand pour ne s’êtrc pas rendu au poste de professeur qui lui avait été assigné au collège d’Ambert, vient d’être révoqué de ses fonctions par le conseil académique de ClermontFerrand. LA SANTÉ DU TSAR...