Extrait du journal

m La demande française pour une clause de transfert, ne doit, pas, en elle-même, présenter de difficultés, mais il en est autrement pour la clause de sauvegarde, par laquelle les paiements français à la GrandeBretagne dépendraient des paiements des réparations allemandes par la France. M. Churchill peut aller jusqu'à accepter une formule par laquelle les recettes de la France au titre du plan Dawes pourraient entrer en ligne de compte comme un des nombreux facteurs, lorsque sa capacité de paiement à la Grande-Bretagne viendra à être examinée par suite d'une crise financière. Mais on pourrait difficilement s'attendre à le voir aller au delà' d'une formule .générale de...