Extrait du journal

Au second acte, nous sommes à Meudon, dans le château de Dubreuil. C'est là que l'orage éclate en passant par les gradations du grand air delà CMom?n'e. L'aigre caquet de Duchesne ouvre le concert il ne sait rien encore, mais 1.1 pressent, il deviné les envieux ont un ûàir spécial pour découvrir les secrets cachés. Puis, c'est Lucien qui, tout ému d'une colère généreuse, porte à son père la lettre qui le diS'ame. Mais Dubreuil garde son beau sang-froid devant cette insulte; il l'attribué aux jaloux, et né s'en soucié. Cet endurcissement es~ un trait saisi sur nature. Les hommes de lutte ne ressentent guère les injures le frottement dés aSaires est à leur caractère ce que 'l'huile était aux membres de l'athlète; les médisances comme les calomnies glissent sur eux sans les entamer. Mais voici venir Armand Verdier, priant Lucien de le laisser partir. IL vientd'entrevoir, dans une allée du parc, le fripon qui a ruiné sa famille il le désigne à Lucien, et l'homme qu'il lui montre est son père Le fils se récrie, il interroge, il véuttoùt savoir. Armand, désolé de sa cohndëhcé,refuse de répondre et il s'éloigne ehlùi promettant lé secret. Mais Duchesne a surpris au vol son accusa-...