Extrait du journal

Les partisans de la Comnftne ont été surpris : n’ayant pas attaqué, elle ne saurait être mise en cause. quant à M. Thiers, si les renseignements qui nous parviennent de Versailles sont exacts, comme nous avons tout lieu de le croire, il serait jusqu’à un certain point innocent du sang versé, en ce sens qu’il aurait eii la main forcée par ses collègues. Jusqu’au dernier moment il aurait exprimé le désir d’entrer dans la voie de la conciliation ; ayant combattu de toutes ses forces l’idée d’attaquer Paris, il ne serait en réalité coupable que de faiblesse....