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Le Figaro, 6 octobre 1936

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Le Figaro
6 octobre 1936


Extrait du journal

me les autres industries, amène raient les constructeurs à supprimer leur service de courses comme un de ceux qui ne sont pas indispensa bles à la bonne marche de leur en treprise. Il ne m'appartient pas ici dé juger des répercussions que les événements de ces derniers mois et les nouvelles charges imposées au patronat peuvent avoir sur l'indus trie automobile. Ces charges sont certainement lourdes et exigent de la part de • nos constructeurs une adaptation délicate. De toutes fa çons, celle-ci ne pourra se réaliser que dans le calme des esprits et des événements, dans la confiance aussi qui doit exister entre les patrons et les salariés. Mais j'aborde là un su jet qui n'est pas de mon ressort de traiter et dont je dois me borner à souligner l'importance. (Voir la suite en rubrique sportive.)...

À propos

En 1854, quatorze ans après la disparition du petit journal subversif du temps de Charles X, Hippolyte de Villemessant relance Le Figaro. Paraissant d’abord sous la forme d’une petite feuille de chou littéraire, Le Figaro absorbe L’Événement en 1866 pour devenir, sans transition, le grand quotidien conservateur que l’on connaît. Dès les années 1880, il abandonne la cause du monarchisme pour adhérer aux principes républicains.

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