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Le Grand Écho de l’Aisne, 25 août 1937

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Le Grand Écho de l’Aisne
25 août 1937


Extrait du journal

Par où passent-elles alors ? N’ou blions pas que tout un côté du ci metière St-Jean, — celui qui touche un terrain de sports et des jardins — est pour ainsi dire non clôturé. On a fait des passages à travers les haies, dans lesquels il est facile de se glisser aux heures où le gardien est couché où est à table. Pour faire cesser ce scandale, de voir les tombes profanées, par des individus qu’on ne saurait qualifier, une mesure s’impose : clôturer d’u ne façon efficace tous les côtés au moyen de fils de fer barbelés, en at tendant de pouvoir élever un mur Que dans notre asile de repos, le « qu’il repose en paix » ne soit pas un vain mot. Nos morts ont droit au respect le plus absolu : s’il est des individus qui ne savant pas le comprendre, notre municipalité doit tout faire pour le leur apprendre, ou tout au moins pous que des faits comme ceuv que nous signalons ne se reproduisent plus....

À propos

Fondé en 1919 à Saint-Quentin par Gustave Bourlet sur l’idée qu’« aucun journal ne défend les intérêts du département », Le Grand Écho de l’Aisne était un quotidien régional affichant notamment sa volonté de « défendre les sinistrés » de la Grande guerre. Il avançait par exemple l’idée selon laquelle Saint-Quentin serait la ville la plus meurtrie de France en termes de pertes humaines et économiques.

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