Extrait du journal

par Christian de CATERS Quadrilatère de pierre rousse, massif et nu, long de cent mètres, large de soixante-quinze, flanqué à chaque angle par une tour qui était un vrai donjon, l’Alcazar se dressait sur la plus haute butte de Tolède, comme une affirmation de puissance. Venant de la ville, une rampe conduisait à la terrasse que dominaient ses énormes murailles percées de petites ouvertures. L’autre face de l’édifice donnait sur les pentes infranchissables du ravin où coule le fleuve....