Extrait du journal

Il arrive à cette conclusion, c'est qu'à la fin de 1907, en continuant les emprunts intérieurs et extérieurs, le Japon serait encore de moitié moins grevé dans sa dette publique que plusieurs Etats européens et que le peuple ne commencerait qu'alors à sentir durement le fardeau; et encore,, à la condition que le commerce japonais ne se développe pas. Or, rien ne l'empêche de se développer. Les mers sont libres ; la marine n'a plus besoin que d'un petit nombre de transports ; la Corée, la Chine, la Mandchourie sont des champs ouverts....