Extrait du journal

cuissons, minutes sous des chaleurs dosées, de substances élémentaires dans des coupelles inaltérables. Les émanations heurtées des haleines humaines, des sels et des acides aux prises aux creux des récipients, des frondaisons d'un jardin voisin au vent de la fenêtre entr'ouverte, composaient une étrange atmosphère chargée d'effluves épars, au comportement si particulariste sous vos narines qu'un pas dans la pièce vtous faisait passer d'une vague parfumée d'amande amère à telle autrp empuantie d'hydrogène sulfuré —- «. les œuft pourris, souffle la mémoire du potache. * — d'une buée de lessive, doucereuse, à telle fraîche senteur acidulée de bonbons de foire....