Extrait du journal

Et nos bagages ont disparu Remue-ménage dans les jardins. La secrétaire réapparaît et s'en va vers les bungalows des boys font la navette nous entendons prononcer le nom de Douglas Fairbanks. C'est que Douglas; arrivé cette nuit, a pris l'un des appa'rtements réservés pour nous. Le ferat-on déloger ? Attendra-t-on qu'il s'éveille ? Nous prions qu'on le laisse en paix. Et tout s'arrange. La secrétaire, qui «l'a cessé de se remuer et d'agir, nous confie à nos valets de chambre, et ceux-ci, avec dignité, nous conduisent à nos demeures. La mienne est une féerie. C'est une villa napolitaine, ouvrant ses baies vitrées de tulle sur quatre jardins suspendus. En décrire l'ameublement serait trop long et minutieux elle ne contient que des chef s-d'oeuvre. Rien n'étant omis pour notre agrément, je trouve, près du téléphone, la liste remplir de ce que je. puis désirer vêtements, objets divers, chevaux, avion, auto, chasses, bêtes à tuer, distractions préférées, linge de corps, musique nocturne, et mon téléphone est direct avec toutes les villes d'Amérique. Enfin, on me vient avertir que la collation est servie dans la grande salle à manger et que nous y pouvons aller quand bon, nous semblera. jusqu'à il heures. Allons-y....