Extrait du journal

A l’interrogation anxieuse du duc, car le seigneur était son mari, elle lui répondit de ne pas s’inquiéter, qu’elle se sentait plus forte. Un peu fatiguée seulement de musique, elle venait chercher, selon son habitude, le silence et le repos du soir dans cette char mille , son endroit favori. — Valence et Amine, retournez au bal, insista - t- elle, aussitôt remise j’y reparaîtrai. Mon cher duc, reconduisez ces dames... — Gardez-vous, MeUe Nadine? — M’en priez-vous? - Votre désir est-il que nous vous lais sions seule? — Si je ne craignais de vous peiner... — Vous obéir est mou bonheur, Ma vielle, dit le duc vivement. — Mesdames, rentrons, reprit-il, Ma dame la duchesse nous rejoindra quand il lui plaira de revenir au château. — Andréa, fil Marielle avec un sourire triste, mais d’une douceur indicible, Andréa, dans une heure je suis a vous. Le duc. et les «lames se retirèrent. Maiiellc resta seule. La soirée était magnifique. Des myriades de diamants diapraient l’azur du ciel. Les parfums des fleurs et les harmonies de I or chestre remplissaient ! air. Marielle se e.a et fut s’accouder au balustre de marbre de...