Extrait du journal

C'est-à-dire que l'eau vous en venait à la bouche, et qu'on songeait, moins après cela, à adopter la motion de je ne sais quel comité privé, qui demandait l'abatage immédiat des ours du jardin des plantes, « coupables de dévorer chacun la ration s de dix défenseurs de la patrie. Les abattre serait de la démence, écrivait au Siècle un homme à idées. Il faut les mettre dans de grandes cages roulantes, ainsi que tous les autres animaux féroces de la ménagerie, lions, tigres et panthères, les faire jeûner trois jours, et après cela les conduire aux avant-postes et les lancer sur les lignes prussiennes. En somme, je ne voyais dans ma compagnie qu'un seul garde à ne pas se préoccuper de cette terrible question d'alimentaùoji....