Extrait du journal

} (Voir les trois derniers numéros'). Je le mis à l'hospice, continua Germais, sous mes prénoms à moi, qui sont Jean-Louis; je dis que c'était mon fils et pris toutes -les. précautions nécessaires pour reprendre l'enfant quand je reviendrais de la guerre. si je revenais. Ne voulant pas cependant priver Adrien de la fortune ni de la position qui pourraient lui revenir un jour comme fils de M. le marquis de Saint-Géran, je fis constater à une des mairies de Paris l'état de l'enfant, son vrai nom, et je déclarai que j'allais le déposer à l'hospice sous mes noms à moi. Et pourquoi dire que c'était votre fils, puisque voos l'abandonniez? demanda la marquise....