Extrait du journal

A la rescomsse / |L y g bien longtemps que je ne vous ai « relancés », ® chers amis du « P. J. » et aussi du « Flambeau ». J'ai misé sur votre ténacité au service de notre œuvre. Les plus fidèles d'entre vous m'ont donné raison. D'autres semblent s'être endormis. Est-il donc nécessaire que j'insiste auprès de vous sur l'utilité française de notre quotidien et de notre hebdomadaire, sur la nécessité de remédier à l'absence de nos-capitaux par l'apport massif et régulier de vos oboles, sur leç dépenses croissantes incombant à la presse ? Je vous tends'donc une fois de plus la main. J'ajoute que nos dirigeants locaux et les animateurs dè nos équipes de vente doivent ORGANISER partout, de façon ration nelle et généralisée, la collecte et l'envoi de vos générosités mensuelles. Grâce à vous, chers lecteurs et abonnés, le « P. J. » et le « Flambeau » « tiennent le coup », gagnant du terrain à tous points de vue : résultat déjà brillant dans les temps difficiles que nous vivons. Mais ce n'est pas assez. J'appelle chacun et chacune d'entre vous, même nos enfants, à la rescousse afin que notre débit de gratitude vis-à-vis de vous porte au maximum d'importance et de ponctualité les rentrées au crédit de notre budget : vous connaissez l'ampleur de nos charges, vous mesurez le poids de mes responsabilités personnelles. Je constate au cours de mes voyages votre admirable attachement. Cet attachement justifie mes espoirs et les transforme en certitude. Ma gratitude émue vous veille. Et je sais que je n'aurai pas vainement fait appel à votre affec tion, à votre appui. la ROCQUE....