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Le Petit Provençal, 3 novembre 1905

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Le Petit Provençal
3 novembre 1905


Extrait du journal

Nous ne comprenons pas beaucoup l'émotion jetée dans le monde par une «'îiquête sur les conditions dans lesquelles -e plaident les procès de divorce. Quelques magistrats se sont avisés de défournir, après vingt ans écoulés pendant lesquels ils ont rendu de nombrez-"s décisions, que la publicité était redoutai le aux parties <‘1 périlleuse pour les intérêts de la femme. Un nous permettra d’abord de nous étonner du relard apporté par ces honorables magistrats dans l’expression de leurs regrets el de leurs craintes. Un comprend que l'expérience d’une institution exige que de? années s’écoulent avant " qu’on la (n.i-ssède < t qu'on puisse émettre un avis. Mais point n’était besoin de vingt années pour poser et même pour résoudre la question si simple r;ue voici : Faut-il ordonner ou non le luira> clos dans les affaires de divorce ?...

À propos

Le Petit Provençal fait suite à La Jeune République, fondé en 1876 par Geoffroy Velten et Jean-Baptiste Chanot. Publié à Marseille, il affirme sa place à la gauche de la ligne politique du Petit Marseillais et consacre sur plusieurs pages des rubriques importantes sur les sports (cyclisme, football, tauromachie, tennis, athlétisme, etc.). Bien qu'ayant publié en « une » l'appel du 18 juin 1940, le journal basculera dans le camp du régime de Vichy sous l’Occupation. En conséquence, il sera interdit à la Libération.

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Données de classification
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