Extrait du journal

A ces dispositions nous reconnaissons le prince qui doit e.\ grande partie sa couronne aux manoeuvres du cléricalesme mexicain. Maximilien Ier a pu se montrer intraitable dans la question épineuse des biens du clergé, laquelle intéresse directement le trésor impérial ; il se montre au contraire, vis-à-vis de ce même clergé, le meilleur prince du monde quand il s’agit de l’instruction de ses jeunes sujets. C’est qu’en rapportant puriment et simplement les décrets de Juarcz, l’empereur du Mexique sacrifiait de grosses sommes aux nécessités d’une entente cordiale entre le trône et l’autel, tandis (jit’en sacrifiant aux prêtres le monopole do l’enseignement, il ne leur sacrifie qu’un principe....