Extrait du journal

Réserve d'autant plus regrettable que M. Caillaux ne semble pas satisfait du taux actuel déterminé par l'état de fait, puisqu'il déclare : « La difficulté est de choisir le point qui soit la proportion exacte entre les forces actives et les forces inactives en présence dans - le pays, entre les forces de l'industrie et du commerce, d'une part, et les autres... » Veut-il dire que pour soulager la production — ce qui fut toujours notre volonté — il se risquerait à cette sorte de prélèvement déguisé et funeste sur une partie du capital que serait une nouvelle dépréciation monétaire ? Ou bien veut-il dire qu'il diminuerait les charges de 1a dette publique au moyen d'une simple conversion ? Ce serait l'injustice pour les rentiers....