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Le Progrès de la Côte-d’Or, 19 avril 1907

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Le Progrès de la Côte-d’Or
19 avril 1907


Extrait du journal

— Car là, depuis longtemps, n’existe plus ancun sentiment noble et généreux. — Tais-toi, te dis-je I Epouvantée, Gladys cherchait à re pousser Régina, étendait les bras comme pour se défendre. — Un paria !... un paillasse mon fils !... Allons donc !... Et un rire nerveux, un rire qui était comme un râle, montait à sa gorge des séchée, crispait ses lèvres décolorées. — C’est lui ! je vous dit que c’est lui 1 — Qui le prouvera ? Qui peut le prou ver ?... personne I __ Je le renie et je ne veux pas le con naître... qu’il s’en aille loin... bien loin... qu’on l’emporte au plus tôt de cette mai son. — Mauvaise mère ! Et avec une douceur triste, , Régina continua : — Vous l’aimiez autrefois, cependant, cet enfant. Ne vous rappelez-vous plus l’époque où nous allions le voir toutes deux ? Vous étiez jeune alors et vous...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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