Extrait du journal

Or, au mois de septembre 1933, Stavisky eut une grande peur. Bayonne parlait de vendre les objets non réclamés, au nombre desquels figuraient les nombreux bijoux métamorphosés, par ses soins, en ouvrages de carton-pâte. Cette vente riserait de lai coûter huit millions. L’escroc se mit en entête de la somme. La fin, à ses yeux, justifiant les moyens, il fit sortir quatre bons de Bayonne, revêtus de la double garantie (!) de Tissier et Carat, ainsi que d’an contrôleur des finances, et quint2 millions s’apprêtèrent à rentrer dans ses caisses. Il ne restait plus, pour cela, qu’à a commercialiser » les bons....