Extrait du journal

.V. Paul Laffont. — 11 était déjà imprudent de crier ce déficit. Le ministre n a-t-il pas fait pire ? Il a maintenu et parfois renforcé toutes les mesures, les années où la surabondance menaçait les viticulteurs de l’effondrement des cours : interdiction des vins de raisins secs et des piquettes, facilités nouvelles accordées à l’exportation, élévation des droits d’entrée à l’importation, système de contingentèrent qui ne laisse entrer les vins de Tunisie, les vins de Grèce qu’au compte-gouttes....