Extrait du journal

» Je ne partage pas, en effet, l'opinion du ministère actuel, dont je suis cependant un défenseur résolu. Aussi, comme je ne veux point être exposé à lui adresser un blâme pour son attitude, un désaveu pour ses actes, je prends la solution qui me parait la meilleure : me retirer purement et simplement. En deux mots et sans préciser aucun des incidents auxquels je fais allusion, dans cette affaire Dreyfus, j'estime qu'on a laissé dormir — je n'ose dire violé - - les grands principes de droit et de justice qu'un parti comme le parti républicain tel que je le comprends ne peut et ne doit jamais abdiquer....