Extrait du journal

Il dénie à ce tribunal sa compétence p( traite du haut en bas les formules judiciaires de la maçonnerie. M. AnJrieu.x n'a pas toujours été aussi sceptique. Il semblerait.à l’entendre, qu’il a étcentraiiié, poussé, jetédans la maçonnerie par des amis fumiste et que, dès qu'il en a reconnu la fumisterie, il s’est hâté de tirer ses grègues. Mais les choses ne se sont pas ainsi passées. M. Andrieux a mis du temps, beaucoup de temps, avant de trouver les cérémonies maçonniques ridicules et grotesques les maçons: il n’a pas démissionné aussitôt initié, dès qu’il a été à même de juger les hommes et les choses de la maçonnerie: bien au contraire, il a perse rré avec une louable ardeur dans la voie que lui ouvrait l’initiation. Non seub-ineni il ne s’est pas moqué alors des«riteset mystères» du premier degré, mais il a successivement sollicité d’être instruit de ceux du deuxième et du tri'ii-iiiegrades. Arrivé là, devenu, comme nous disons, maçon parlait, il aurait pu prétendre avoir tant lardé pour tout connaître de cette Société cocasse afin d'en rire plus complètement, et, pourvu surinais de tous les brades, jeter bruyamment aux orties la truelle et le tablier. Mais non ! M. Andrieux a contisé à ne pas se railler des formes et des .ituels.et à les pratiquer de son mieux, il fut un maçon du troisième degré sérieux, comme il avait été un apprenti modèle....