Extrait du journal

M. HENRI DE REGNIER de l'Académie Française C'est sous notre ciel parisien; devant nos paysages, à l'ombre, de nos pierres et de nos arbres,, le long de notre fleuve et de nos fontaines que le poète de la Cité des Eaux et du Miroir des Heures aime à promener sa noncha lance. Où trouverait-il une. inspiration plus tendre et des muses plus belles qu'aux abords de Passif .et. d'Auteuil, ces délicieux « villages » ? Et c'est de là qu'il nous répond : On ne travaille bien qu'à Paris, sur tout l'été. C'est pour cela que j'y suis...