Extrait du journal

Le soin de protéger les côtes appartient au ministère de la guerre, comme on sait. La marine n'y est pour rien. M. Lockroy trouve cette situation étrange et d'autant plus dangereuse que les bureaux de la rue Saint-Dominique n'ont rien organisé, dit-il, que le désordre. Les commandements seraient tellement enchevêtrés qu'on aurait peine à s'y reconnaître. Le commandant du secteur de Marseille, par exemple, relèverait du ministère de la marine jusqu'aux limites de l'octroi et au-delà du ministère de la guerre. Rien, affirme-t-il, n'est prévu pour la Corse, pour l'Algérie, pour la Tunisie, pour nos possessions d'Afrique. Ce serait seule-...