Extrait du journal

un repos dont il se prive. Le temps de se laver, de changer de linge, il retourne reprendre sa place, après avoir jeté un regard sur le, tableau comme s'il pouvait craindre que les coureurs ne lui eussent fait la méchante blague de batailler en son absence. Rassuré, il commande à déjeuner, en bâillant. Car il est là, mais il s'ennuie à mourir ; quand le cinj ipst beau et que le soleil dore la verrière, il a envile de s'en aller, de respirer le grand air le long des quais, de voir le ciel, des arbres, des jardins du côté du Trocadéro. Mais non, une force plus forte que sa volonté...