Extrait du journal

Les jeunes femmes qui vivent du commerce, peu louable, mais rémunérateur de leurs charmes; ne ressemblent guère aujourd'hui à ce qu'elles étaient autrefois. Sans doute, dans certains quartiers excentriques, et, plus particulièrement, en tous les points, où le métro, jaillissant du sol, s'élance sur une svelte et haute galerie, les « belles de nuit » sous la lumière froide des becs de gaz, appellent toujours le passant. Mais délaissons ces épaves. La plupart sont vielles et ne réclament à leur métier que le pritx d'un taudis, des repas avec des cigarettes et de l'alcool....