Extrait du journal

Cette situation déjà très précaire avant 1914 en raison de l’insuffisance notoire des rentes revues par la loi 1898, s’était considérablement aggravée, par la suite, du fait du renchérissement du coût de la vie. C’est ainsi que pour les mutilés atteints d’une incapacité totale « 100 », incapables de tout travail, les rentes n’jetaient que de 500 a 800 francs par an ; pour les amputes d’un bras ou d une jambe, les rentes étaient de 350 à 450 francs par an, pour les veuves de 240 à 300 fr., pour les orphelins de 120 a 180 fr....