Extrait du journal

♦ * * Immense demeure toujours la. lâche à remplir, car les problèmes déjà posés ne se résolvent pas vile el d'autres questions surgissent chaque année. Sans doute pouvons-nous constater une sérieuse amélioration du côté du Levant. Ce mandat sur la Syrie, qu'à Paris mime, à la fin de 1926, certains esprits animés d’excellentes intentions, mais trop peu soucieux du prestige de notre pays, parlaient d'abandonner, personne en France ne parait plus le discuter ; le. calme est rétabli dans le Djebel Druse, cl c'est du statut politique définitif cl de l’essor économique des pays sous mandai que se préoccupent surtout, à l'heure actuelle, les parlementaires el l'opinion publique de France. Mais les modifications du statut de l’Irak trie vient de décider le cabinet britannique, ne vont-elles pas exercer quelque répercussion sur les populations placées sous notre mandat ? cl ne devons-nous pas suivre, avec soin révolution de la Turquie, les négociations qui son! engagées elles les événements spis se passent en irabie ? Ne devons-nous pas nous préoccuper des progrès réalisés par F \ fghanislan sous l’impulsion de son souverain ? el pouvons-nous demeurer indifférents à tous les problèmes en face desquels se trouve l'Angleterre dans V Empire des Indes ? Sur les bords asiatiques de F Océan Pacifique, enfin, on ne peut malheureusement pas trouver l'équivalent du progrès que nous avons constaté dans le Levant ; la guerre civile conte-...