Extrait du journal

Et c’est dans cette ville bien assise, qu’a déferlé, le 5 septembre, un délire qui ne s’apaise pas. Paris a eu sa joie immense, couronne ment de sa lutte. Bruxelles, prête sans doute pour la lutte, n’a pas eu le temps de se battre. Elle a eu ses héros. Sur le mur du musée, une gerbe signale un simple carton : « Dans la nuit du 3 au 4 septembre, sont tombés pour la libération de Bruxelless et la défense de la Belgique cinq patriotes du peloton d'éclaireurs du Mouvement national royaliste »....