Extrait du journal

Il ne faut pas oublier, comme nous l'avons dit dès le premier jour, que l'autorisation du ministre est unilatérale. Un sociétaire ne relève pas seulement du pouvoir central, il relève aussi et surtout de l'Association dont il fait partie. Le Comité n'ayant pas été consulté ni par le ministère, ni par l'intéressé, qu'adviendrait-il si, comme le suggère dans Le Petit Bleu mon confrère et ami Emile Mas. pomme le suppose La Liberté, l'Association s'opposait aux absences de son coassocié. et cela avec d'autant plus de force que cet associé est considérable entre tous et par surcroît le dôyen ?....