Extrait du journal

En Ascendant, à Algésiras, du bac de Gibraltar, nous étions montés dans le train de Bobadilla- La matinée était charmante. Nous Pari}m es à petite allure, et ce fut une promenade sans hâte, une flânerie à travers les beaux a sages.-, un ciel d'azur uni était tendu Paysages ; un ciel d'azur uni était tendu sur les montagnes, pas la moindre brume n'obscurcissait l'air, les choses s'offraient dans leur beauté, nues, sans un secret, Ures de la perfection. Accoudés aux portière, nous conternplions le rude, le fort et magnifi nous contemplions le rude, le fort et magnifique pays qui se déroulait sous nos yeux ; ..u.n air frais circulait dans le wagon; arrêt : ehons heureux. De temps en temps, arrêt : on avait atteint une station ; on res-...